Un cocon en béton blanc
Foyer social pour mineurs en difficulté, la Maison Eleanor Roosevelt de la Porte des Lilas, à Paris, exprime sa vocation de protection par l’esthétique lumineuse de sa façade en béton blanc, formulé avec i.active® ULTRA, un ciment à effet photocatalytique.
Un espace de vie protégé
Conçu pour offrir un havre de paix à des mineurs placés sous protection judiciaire, le centre d’accueil de la Porte des Lilas, dans le 20e arrondissement de Paris, regroupe entre ses murs de multiples fonctions : hébergement et protection des enfants, accompagnement dans le rétablissement des liens familiaux et continuité de la scolarité. Le bâtiment se compose de plusieurs niveaux, répondant chacun à l’une de ces missions. Des éléments de façade en béton blanc, réalisés par le prébabricant Jousselin, avec le ciment i.active® ULTRA de Ciments Calcia, viennent apporter une unité esthétique à cette structure complexe qui se veut avant tout un lieu de vie lumineux et chaleureux.
Blanc pour longtemps
Mélange d’acier, de bois et de béton, la façade du bâtiment comporte 2 870 m2 d’éléments préfabriqués en béton blanc, dont les plus grands mesurent jusqu’à 3,50 m de large sur 6 m de haut. S’y ajoutent 1 600 mètres linéaires de bandeaux de béton blanc, saillant jusqu’à un mètre par rapport au reste de la façade. L’architecte souhaitait faire de cet édifice, situé dans une zone très en vue, un véritable projet d’exception. Le béton, formulé avec le ciment photocatalytique i.active® ULTRA blanc, répond à cette volonté par son aspect lisse et immaculé. En effet, sous l’action de la lumière et des rayons UV, la technologie TX Active® opère et limite le dépôt des salissures d’origine organique (mousses, lichens…) sur les façades en béton, préservant ainsi leur esthétique initiale. Par ailleurs, le béton i.active® ULTRA contribue à réduire les substances gazeuses nocives (NOx et COV) générées par la proximité d’importantes voies de circulation en les piégeant avant de les décomposer par réaction d’oxydation, soit un écrêtement de la pollution de l’ordre de 50 %.